Mercredi 21 octobre 3 21 /10 /Oct 11:55

VII





            - Non madame, fit Eugénie en s’abandonnant à elle comme elle s’était abandonnée à Sarah. »

Puis la mère supérieure posa une main sur son dos et commença à y exercer une pression.

« Veuillez posez vos coudes sur mon bureau, mademoiselle et m’offrir votre croupe. »

Elle guida sa jeune pensionnaire jusqu’à ce que son dos soit à l’horizontal.

« Bien. Courbez encore un peu plus votre dos. Voilà. Offrez moi bien ces fesses et votre intimité. »

Eugénie, accoudée au bureau, la tête enfouie entre ses bras, se rendit rapidement compte qu’elle prenait autant de plaisir dans ce bureau que sous le saule pleureur. De plus, elle savait que là, maintenant, les choses allaient se poursuivre. Le superviseur allait venir et il n’allait pas se contenter de regarder. Le cours de ses pensées fut interrompu par la claque que déposa sur sa fesse droite la mère supérieure.

« Voilà mademoiselle à quoi vous expose votre conduite. Une fessée, une correction pour vous faire comprendre que c’est aux verges et non aux cons que nous devons nous consacrer, nos, les femmes.

- Oui madame, répondit Eugénie, d’une voix blanche, ne voulant pas montrer une quelconque réaction dans un sens ou dans l’autre. »

La main de la supérieure vint honorer la seconde fesse. Un second éclair où se mêlait autant de plaisir que de douleur parcourut Eugénie. Elle avait envie de dire « encore » à sa supérieure mais n’en fit rien. Elle avait décidé de ne manifester aucune émotion, de rester de marbre autant que possible car elle sentait confusément que la mère supérieure cherchait à provoquer une quelconque réaction.

Cette dernière continuait à fesser sa jeune pensionnaire. Elle alternait les fesses, prenait son temps. A un moment, sa main libre, qui était posée sur une des jambes d’Eugénie, remonta entre ses cuisses pour aller masser son clitoris. Là encore, dans cette caresse comme dans les autres, la femme excellait. Elle prit, en quelques mouvement de doigts, possession de l’intimité d’Eugénie, alors que son autre main continuait à rougir la tendre peau de ses belles fesses.

« Il n’y a pas de doute, mademoiselle, les femmes vous font de l’effet. »

Disant cela, elle glissa un doigt en Eugénie puis cessa ses claques, pour se concentrer sur le va et vient de son doigt.

« Il nous faut tout à fait extirper de vous le goût pour ce tel péché. Et je ne vous qu’une façon de procéder. »

Là, elle sortit son doigt puis, un instant après, en glissa deux, en accélérant la cadence.

« Il nous faut vous apprendre à aimer ce pour quoi nous sommes faites, c’est à dire la verge. Je sens déjà que mes deux doigts vous font pâmer de plaisir. Vous êtes si humide et moite. Imaginez quand ce sera une queue bien dure, mademoiselle ! »

Eugénie avait déjà connue ces plaisirs. Elle aimait autant les hommes que les femmes mais, une fois de plus, ne voulut rien dire à la supérieure. Elle s’enfonça dans son mutisme, toute entière à son plaisir. Elle voulait la queue du superviseur autant que les doigts de sa supérieure.

Peu après, l’on toqua à la porte du bureau.

« Entrez, monsieur le superviseur. »

Les gonds firent entendre leur grincement, la supérieure retira ses deux doigts et posa une main sur le dos d’Eugénie.

« Veuillez rester ainsi, fit-elle, avant de s’adresser à l’homme qui venait d’entrer. Monsieur, je vous présente la première de nos deux pensionnaires qui croient pouvoir se passer des hommes.

- Encore une petite impudente.

- Je vous ne le fait pas dire, monsieur. Mais elle a choisi de recevoir notre éducation plutôt que de quitter le pensionnat.

- Espérons qu’elle en comprenne le sens.

- Vous n’avez jamais failli, monsieur. »

Leurs deux voix étaient pleines d’assurance et de luxure. Comme s’il ne s’agissait là que d’un jeu entre eux. Eugénie espérait qu’ils allaient jouer longtemps avec elle.

Le superviseur fit quelques pas pour s’approcher d’elle.

« Mais je reconnais là Eugénie, l’une de nos plus appétissantes pensionnaires. Je préfère largement éduquer cette jeune femme là que la fille du Duc de Peaunes ou encore celle du banquier Schmidt.

- Comme je vous comprends, monsieurs. Et pour y avoir déjà gouté, je peux vous assurer de la fermeté de sa croupe et de la douceur de sa peau.

- Alors l’honorer  sera un plaisir.

- Regardez mes doigts, ils sont luisants de son plaisir.

- Laissez moi y goûter.

- Approchez, mon ami. »

S’ensuivit un court silence durant lequel Eugénie crut sentir un frisson parcourir la main de la supérieure, toujours posée sur son dos.

« Quelle délicieuse petite chatte vous m’avez faite goûté là, madame. Il me tarde déjà de la sentir autour de ma verge. Nous mettons nous au travail?

- Avec plaisir. »

Elle retira sa main puis fit le tour du bureau pour aller ouvrir un tiroir et en sortir sans bruit quelque chose, avant de refaire les mêmes étapes en sens inverse.

« Le bandeau ! Bonne idée que vous avez-là madame. »

En effet, la mère supérieure banda les yeux d’Eugénie l’instant d’après. Dans les faits, comme celle-ci gardait déjà les yeux clos, il n’y eut pas de changement mais ce fut quand même un nouvel univers qui s’ouvrit à elle. Tout le plaisir, toute l’excitation qu’elle ressentait se concentrèrent dans sa tête, inondant ses pensées. Elle était livrée au bon plaisir d’un homme et d’une femme qui voulait l’éduquer, elle prenait cela comme un jeu. Elle ne voulait qu’une chose, jouir de ce plaisir, vivre intensément chaque geste, chaque parole dont elle était l’objet.

Puis il y eut les mains rugueuses de l’homme sur ses hanches. Le contact de l’écorce, celui du bûcheron. Eugénie frissonna et retint difficilement un gémissement. Elle dut se mordre les lèvres pour ne pas montrer son plaisir, qu’elle voulait garder secret pour le moment.

Après les mains, sans crier gare, sans avertissement, il y eut la queue de l’homme. Elle l’investit rapidement, soudainement.

Là, Eugénie ne put retenir un soupir, comme si la vague de plaisir soulevée par le menbre chaud et dur du superviseur était venue mourir dans sa bouche.

« Baisez-moi bien, s’il vous plait. Eduquez-moi comme il faut. »

Eugénie fut surprise par ses propos. Elle ne voulait pas trahir son excitation. Elle voulait se montrer le plus impassible possible, afin d’aiguillonner le désir de ses deux amants, de les piquer au vif. Mais là, toute résistance était vaine devant le puits de plaisir que se mit à forer en elle le superviseur.

Ses mains solidement agrippés, ses hanches actives, sa verge conquérante, tout ce qu’il lui donnait d’elle la rendait folle.

« Vous voyez, monsieur le superviseur. Elle nous le demande elle-même. Elle veut se faire baiser.

- Je vais lui faire aimer ma queue à cette petite chienne.

- Elle est là pour y prendre goût. Elle est la pour comprendre à quoi doit servir son con. »

Eugénie fermait les yeux de plus en plus fort contre le bandeau. Elle serrait ses mâchoires. Son corps entier était tendu par le plaisir que répandait en elle les coups de boutoir du superviseur. Il allait et venait avec vigueur, avec autorité et assurance. Il ne semblait avoir qu’une idée en tête, celle de baiser l’une de ses pensionnaires le mieux possible.

« Braquemardez-la bien, cette jeune demoiselle. Qu’elle retienne bien la leçon.

- Mais ne dit-on pas qu’une bonne leçon comporte plusieurs parties, madame ? demanda l’homme sans cesser de s’activer en Eugénie.

- Vous êtes dans le vrai, monsieur. Sortez de notre jeune pensionnaire, nous allons lui faire goûter son plaisir autour de votre verge.

- Bonne idée, madame mais laissez moi encore profiter de ce délicieux con.

- Faites à votre guise, monsieur, tant que vous ne jouissez pas trop vite. »

L’instant d’après, il était hors d’Eugénie mais pas pour longtemps. Juste pour frotter son gland chaud et luisant sur le clitoris et les lèvres de son amante.

Puis il reprit ses assauts, avec une force renouvelée. A ce rythme, Eugénie sentait son orgasme monter, envahir son esprit et son corps.

Comme s’il lisait ses pensées, le superviseur ralentit puis sortit.

« Mettez-là à genoux, je vous prie, madame. Il est temps d’explorer un nouveau chapitre.

- Soit ! »

La mère supérieure posa une main sur l’épaule droite d’Eugénie et l’autre sur ses cheveux. La guidant autant que la forçant, elle mit Eugénie à genoux. La main sur son épaule était douce, prévenante alors que l’autre, enserrant le sommet de son crâne était de fer. Un contraste excitant, si encore Eugénie pouvait l’être encore plus.

« Ouvrez la bouche, mademoiselle, fit la mère supérieure. »

A peine l’eut elle ouverte que le superviseur s’y avança. Ses lèvres se refermèrent sur la queue dure comme la pierre. Sa langue chercha le gland. Ses mains se levèrent pour aller s’emparer des hanches de son amant.

« Non, mademoiselle, dit avec tranchant la mère supérieure. Laissez vos mains le long de votre corps, je vous prie. »

Eugénie s’exécuta sans cesser de s’occuper de la queue dans sa bouche. Le superviseur allait et venait doucement. Elle jouait avec son chibre chaud et moite du bout de la langue, avec toute sa bouche, avec passion, en s’oubliant à la tache.

« Le goût de votre cyprine vous plait sur cette queue, mademoiselle ? Sucez bien cette verge. Sucez bien mon ami le superviseur. »

Elle posa une main sur son crâne.

« Je vais vous aider. »

Puis elle se mit à guider, à accompagner les mouvements d’Eugénie. Qui totalement, prise entre la main de la mère supérieure et la queue du superviseur. Cette dernière investissait sa bouche en allant de plus en plus loin. La main sur son crâne dirigeait de plus en plus.

Eugénie était parcourue de spasmes, de frissons. Elle était au bord de l’orgasme. Quelques coups de queues suffiraient. Elle voulait leur demander de finir de la baiser, de la faire jouir.

Elle ne put le faire car elle se réveilla.

D’un coup, elle fut dans la réalité de sa chambre, de sa vraie vie. L’orage sévissait toujours. C’était lui qui l’avait tiré de son sommeil et de son rêve, une fois de plus.

Trop accaparée par son plaisir, elle ne pensa qu’à une chose, faire descendre sa main entre ses cuisses pour se faire jouir.

Ce qu’elle fit en un rien de temps, du bout des doigts, sur son clitoris.

 

 

 

Par Chevalier de Ferreol
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